C’est également au 17ème siècle que seraient apparus les premiers pendules sous leur forme la plus basique (anneau suspendu à un fil).
C’est bien plus tard, en 1929, que l’appellation « radiesthésie » est apparue, inventée par l’Abbé Bouly. Nous lui devons également de nombreuses découvertes : sources profondes, cimetières mérovingiens, souterrains dans des châteaux médiévaux…
On constate d’ailleurs un fait surprenant tout au long du 20ème siècle : la plupart des grands radiesthésistes ont appartenu à l’église : outre l’Abbé Bouly, on peut citer l’Abbé Mermet (inventeur de la radiesthésie à distance dite télé-radiesthésie), l’Abbé Bayard, le Révérant Père Bourdoux… Pourquoi un tel engouement de la radiesthésie dans le clergé ? La prière, la maîtrise de soi et la méditation, auxquels s’exercent les hommes d’église n’y sont certainement pas étrangères.
Le pendule est un outil relativement moderne. Il est né au début du 19ème siècle. C’est le physicien Strasbourgeois Gerboin qui le découvrit suite à des expériences menées avec un anneau suspendu au bout d’un fil. Cet outil pouvait réagir comme la baguette du sourcier. Peu à peu s’est donc imposée l’idée qu’un objet suspendu au bout d’un fil était capable de réagir à certaines vibrations provenant du sol, des métaux, de l’eau…